Qui ne s’est pas laissé tenter par un balado dernièrement? L’offre québécoise de ces émissions et chroniques audio, à écouter quand bon nous semble, est maintenant abondante. Voici nos coups de cœur.
Profitez-en pour rire et faire des découvertes… des tonnes de découvertes!
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Un humoriste et sa planète
François Bellefeuille, dans son balado 3.7 planètes sur Ohdio de Radio-Canada, parle avec humour d’environnement. L’humoriste nous raconte ses tentatives de changement d’habitudes pour diminuer son empreinte écologique. Il n’y a que lui pour nous faire rire autant tout en nous sensibilisant à cette cause qui semble parfois pesante. Il nous a même convaincus d’acheter un bidet… Bref, on adore!
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Meurtres non résolus
Sur QUB radio, laissez-vous captiver par l’univers de meurtres non résolus de la série Synthèses. Deux enquêtes sur le meurtre de Québécoises dans les années 2000 sont racontées en 5 et 6 épisodes. Intrigue et suspens sont au rendez-vous! Mention spéciale aux effets sonores particulièrement bien réussis.
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L’histoire autrement
En 20 minutes ou moins, découvrez l’histoire du service à l’auto, du hockey, de la mode, etc. avec Fan d’histoire sur Ohdio. Animés par l’historien Laurent Turcot, accompagné de personnalités, ces balados reviennent sur l’histoire de sujets qui intriguent ou fascinent. C’est léger et éducatif, mais surtout pas plate!
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Un conteur pas ordinaire
Laissez-vous bercer par les histoires fascinantes de l’inégalable conteur Fred Pellerin en écoutant T’as un village dans l’oreille sur Ohdio. Cet univers, où la fiction et la réalité se chevauchent, nous transporte dans le village de Saint-Élie-de-Caxton. Les souvenirs romancés de Fred Pellerin vous feront autant rire aux éclats qu’ils vous émerveilleront.
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Les dessous de l’exploitation sexuelle
Trafic : À la recherche du client a d’abord été un documentaire. Ces 6 balados sur Télé-Québec présentent un complément à cette enquête sur le monde de la prostitution juvénile à Montréal. La journaliste-réalisatrice Catherine Proulx nous partage plusieurs entrevues avec des policiers, des proxénètes, des victimes et des intervenants du milieu. C’est plutôt troublant, mais cela permet de mieux comprendre pourquoi cette industrie existe.